Les tables ouvertes
Chaque vendredi du mois, le 1er à Pontarlier, le 2nd à Besançon, le 3ème à Morteau (sujet à modification en période scolaire)
Pour le mois de Novembre :
Pontarlier : 10 Novembre 2017 : La Brasserie de la Poste
55 rue de la République – 25300 Pontarlier
Besançon : 17 Novembre 2017 : Ducky Kart
Restaurant le Ducky Kart – 15 rue Guillaume Apollinaire – 25000 Besançon
Morteau : 24 Novembre 2017
Restaurant L’Auberge du Vieux Chateleu – Lieu dit : Vieux Chateleu – 25790 Les Gras
A vos agendas !
Cliquez ici pour vous inscrire à l’une de ces tables ouvertes
Invitation au débat des primaires de la gauche
Mercredi 11 janvier 2017 à la CPME, accueil à partir de 7h30 – débat à 8h30
La CPME organise un débat entre les candidats à la primaire de la gauche et les chefs d’entreprise, mercredi 11 janvier de 8h30 à 11h00 au siège national.
Jean-Luc Benhamias, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon, Sylvia Pinel, François de Rugy et Manuel Valls ont été conviés par François Asselin, Président de la CPME, pour s’exprimer tour à tour pendant 20 minutes.
Ils répondront aux questions économiques et sociales des dirigeants de PME.
Après avoir réuni 500 chefs d’entreprise le 17 octobre 2016 qui ont interpellé les sept candidats de la primaire de la droite, ce deuxième débat permettra à la CPME de confronter les candidats aux questions qui préoccupent les PME françaises.
CPME
10 Terrasse Bellini, 92806 Puteaux
Métro Esplanade de la Défense Sortie 3 Quartier Bellini.
Attention : vous devez vous pré inscrire ici et la carte d’identité est obligatoire
Le 6 janvier 2017, la CGPME change de nom et devient la CPME, la Confédération des PME
Le 6 janvier 2017, la CGPME change de nom et devient la CPME, la Confédération des PME. Un nom plus direct et une nouvelle identité visuelle qui affirme les valeurs de l’organisation.
La CGPME tourne une page. L’organisation patronale des TPE et PME françaises créée en 1944 se dote d’un nouveau nom plus simple, qui revendique son héritage. Et amorce son changement d’identité visuelle avec un nouveau logotype.
Organisation patronale interprofessionnelle nationale, la CPME défend avec énergie les TPE-PME de tous les secteurs de l’économie. Elle rassemble 125 unions territoriales en métropole, en Outre-mer et près de 200 fédérations et syndicats de métiers.
Elu en 2015 Président de la Confédération, François Asselin a fait approuver une feuille de route stratégique dont les quatre objectifs à horizon 2020 sont :
– Encourager la prise de risque au sein des TPE-PME
– Agir pour un environnement économique et social favorable
– Etre le moteur de l’innovation et du développement responsable
– Favoriser un dialogue social serein et non contraint, dans l’entreprise.
L’organisation déploie une communication proactive, qui fait peau neuve, afin de développer la visibilité de la CPME et promouvoir l’image des petites et moyennes entreprises.
François Asselin explique que les PME : « ce sont des patrons qui dirigent directement leur entreprise avec liberté et esprit d’initiative, qui risquent leur propre patrimoine. Ils sont en contact avec tous les salariés, d’où une éthique et une solidarité très fortes. »
Ainsi, la CPME affiche un nouveau logotype qui porte ses valeurs :
– Les valeurs humaines, le lien à l’œuvre dans les TPE-PME, symbolisés par l’enchevêtrement des lettres et les formes courbes, évocatrices de convivialité.
– La proximité, évoquée par les caractères minuscules.
– La rigueur, la fiabilité de l’organisation, avec les caractères droits.
– La couleur rouge symbolise le dynamisme, la combativité.
– La créativité de ces entreprises, représentée par la police de création du logo.
– La CPME est l’institution des PME françaises, avec les couleurs bleu blanc rouge.
Nouveau nom, nouvelle identité visuelle, la CPME se donne un nouvel élan à l’aube d’une année cruciale où elle compte bien placer les préoccupations des PME au cœur de l’élection présidentielle.
Entretien de François Asselin avec le Président de la République
François Asselin, Président de la CPME, a rencontré le Président de la République.
Ce dernier conscient de l’importance de ces sujets pour les PME, s’est engagé à mettre en place un moratoire sur le compte personnel de prévention de la pénibilité (C3P). Il a également confirmé son intention de réaliser un audit sur le prélèvement des revenus à la source. Il s’agit là d’avancées majeures qu’il faut saluer.
En ce qui concerne la réforme du code du travail, François Asselin a insisté pour que le barème de plafonnement des indemnités prud’homales tienne compte de la réalité des PME. Il a également souligné le besoin de simplification des règles applicables en matière sociale ainsi que la nécessité de mettre fin à la pénalisation grandissante des relations sociales.
A cet égard, le chef de l’Etat, s’il s’est montré plus que réservé sur le relèvement des seuils sociaux, a réaffirmé son intention de fusionner les instances de représentation du personnel, répondant ainsi à une demande de longue date de la CPME.
Le Président de la CPME, partisan du maintien du rôle régulateur des branches professionnelles, a, par ailleurs, rappelé avec force que la réforme visant à donner plus de poids à la négociation d’entreprise doit impérativement prévoir, en l’absence de syndicat, la possibilité pour l’employeur de prendre l’initiative d’un référendum validant un accord avec le personnel. A défaut la montagne risque d’accoucher d’une souris pour la plupart des entreprises françaises dépourvues de représentation syndicale.
François Asselin a manifesté son appui au recours aux ordonnances pour accélérer l’application des réformes. Il a cependant réclamé, à plus long terme, une Loi cadre TPE/ PME donnant davantage de visibilité aux chefs d’entreprise en inscrivant notamment les mesures de simplification, l’évolution du coût du travail et les trajectoires fiscales sur la durée du quinquennat