Renforcer le capital santé des salariés avec un Check-Up Santé

Manque de temps, difficulté à obtenir un rendez-vous ou à trouver un médecin traitant… de nombreux Français renoncent trop souvent à consulter un médecin, avec des conséquences qui peuvent être lourdes pour leur santé et sur la performance de l’entreprise.  En tant que partenaire de la CPME, Harmonie Mutuelle propose sa solution Check-Up Santé. Elle permet aux salariés de faire un bilan médical de leur état de santé, au sein de leur entreprise.

Il est recommandé de consulter son médecin au moins 1 fois par an et 2/3 des salariés déclarent que si une entreprise propose des programmes d’accompagnement pour la santé physique ou psychologique, cela a un impact positif sur leur envie d’y rester ou de la rejoindre.

L’entreprise a donc un rôle à jouer ! À la fois pour garantir la bonne santé de ses collaborateurs et pour lutter contre les arrêts de travail et réduire l’absentéisme. Ce dispositif clé en main, organisé sur le site de l’entreprise avec tout le matériel nécessaire, permet de proposer aux salariés une consultation médicale, individuelle et confidentielle, et de bénéficier d’un bilan de santé complet pris en charge à 100 % par l’employeur.

Vous souhaitez en savoir plus sur cette solution Check-Up Santé ?

 

 

*Source : enquête IFOP Les attentes santé des salariés en entreprise – Mars 2021

Délestage dans les entreprises : la CPME vous informe

Chefs d’entreprise, quelles sont les modalités de mise en œuvre du délestage ? Comment s’y préparer ? Quelles conséquences sur votre entreprise ? Tour d’horizon.

Webinaire CPME du 14 décembre : un replay pour tout savoir

Afin d’informer les dirigeants sur les modalités de mise en œuvre du délestage et de pouvoir s’y préparer au mieux, la CPME a organisé un webinaire d’1h30 mercredi 14 décembre.

Sujet d’intérêt qui inquiète les chefs d’entreprise, 400 participants y ont assisté.

Thierry Vachon, Directeur Clients Entreprises & Pro (B2B) d’ENEDIS et Alexandre Morcel, Référent modélisation énergie de la direction relations clientèle de GRDF, sont intervenus et ont présenté la méthodologie et leurs conseils à appliquer afin d’éviter toute coupure électrique.

Nicolas Mohr, Directeur Général de la Médiation des entreprises, qui pilote le comité de crise sur l’énergie, a présenté les outils pédagogiques pour aider les entreprises à décider de leur renouvellement de contrat de fourniture d’énergie. Il a également abordé les possibilités de recours à la Médiation en cas de difficultés avec leurs fournisseurs.

Délestage et activité partielle

Le questions/réponses du ministère du Travail sur l’activité partielle des salariés en cas de délestage a été actualisé le 7 décembre. Il comprend désormais le scénario des conséquences d’un délestage sur les entreprises.

Alors qu’en principe, la demande d’activité partielle doit être effectuée en amont, une exception est donnée dans ce cadre avec des formalités qui pourront être effectuées a posteriori.

Le questions/réponses indique que : « dans le cas où une entreprise directement affectée par le délestage n’est pas en mesure d’aménager le temps de travail de ses salariés pour faire face à cette situation, il lui est possible, en dernier recours, de mobiliser, pour la durée du délestage et, le cas échéant, pendant la durée nécessaire à la remise en marche des unités de production, le dispositif d’activité partielle de droit commun, sur le motif « toutes autres circonstances exceptionnelles » (sous-motif « délestage »).

L’utilisation de ce motif autorise les entreprises à bénéficier de la souplesse prévue par le code du travail (l’article R.5122-3 du code du travail) permettant à l’employeur de disposer d’un délai de trente jours à compter du placement des salariés en activité partielle pour adresser sa demande préalable.

Le salarié percevra dans ce cas une indemnité au taux de droit commun, soit 60 % de sa rémunération brute antérieure, dans la limite de 60 % de 4,5 Smic.

L’employeur recevra de l’Agence de services et de paiement (ASP) une allocation d’activité partielle équivalente à 36 % de la rémunération brute antérieure du salarié, dans la limite de 36 % de 4,5 Smic, avec un plancher de 7,88 euros. »

Consulter le QR ici et aller à la question n°6

 

Source : cpme.fr

Fiscalité locale des PME : un podcast pour tout savoir

Les PME font face à une multitude de taxes locales qui sont constamment augmentées. Interrogés dans la dernière enquête CPME, 70 % des dirigeants constatent une hausse de la fiscalité locale en 2022, avec des progressions supérieures à 10 %. Ils sont 91 % à craindre une augmentation de leur cotisation foncière des entreprises en 2023. Avec un impact non négligeable sur la compétitivité des entreprises.

Dans cet épisode de 8 minutes, Gérard Orsini, avocat fiscaliste et président de la Commission fiscale de la CPME dresse le panorama de la multitude de taxes locales et leur complexité et présente les propositions de la CPME pour la modernisation et la simplification de la fiscalité locale des PME.

Ecouter le podcast

Il s’agit du troisième numéro de la série : “Focus PME : le podcast des experts de la CPME”. Le précédent portait sur la prime partage de la valeur expliquée par Eric Chevée, et le premier sur le nouveau statut de l’entrepreneur individuel, par Bruno Dondero.

Cette série propose des explications resserrées et pratiques d’experts de la CPME sur les sujets clés de l’actualité des entreprises.

Résultats de l’enquête CPME sur la situation de l’emploi et des salaires dans les TPE/PME

La CPME a réalisé une enquête entre le 6 octobre et le 10 novembre 2022, 2566 réponses ont été comptabilisées dont 2330 entreprises employant au moins un salarié.

Sans surprise, les difficultés à recruter restent un problème qui frappe la quasi-totalité (91%) des dirigeants interrogés qui cherchent actuellement à recruter. La première raison évoquée par les chefs d’entreprise est le nombre insuffisant de candidats (79 %), suivi de l’inadéquation du profil des candidats (69 %). Les difficultés rencontrées par les candidats pour se loger sont également citées par 13% d’entre eux.

Pour pallier ces difficultés de recrutement, près des deux tiers des dirigeants (67%) souhaitant recruter ont revu à la hausse le salaire à l’embauche.

En toute logique, et c’est un immense gâchis, les difficultés de recrutement ont un impact sur l’activité des entreprises. Un tiers des dirigeants (33 %) déclare refuser des commandes ou des ventes en raison du manque de salariés.

Il est par ailleurs intéressant de souligner que le contrat à durée indéterminée (CDI) n’est plus vu comme un graal par les salariés. Ainsi, parmi les entreprises ayant au moins un salarié, trois dirigeants sur dix (31 %) se sont vu déjà opposer un refus à leur proposition de CDI en fin de CDD.  11 % des dirigeants (26% dans l’hôtellerie-restauration !)  constatent même, et c’est là une véritable évolution, que les salariés qu’ils recrutent ont une préférence pour un CDD plutôt que pour un CDI. Difficile, dans ces conditions, de ne pas se poser de questions sur le bonus/malus mis en place par le gouvernement…

Enfin, pour faire face à l’inflation, un dirigeant sur deux (50%) ayant au moins un salarié prévoit une augmentation des salaires dans l’entreprise au 1er janvier 2023. Cette hausse sera, dans plus de la moitié des cas (55%), au moins égale à 3 %. Il convient également de préciser que près d’un dirigeant sur deux (44 %) envisage le versement d’une prime de partage de la valeur (PPV) d’ici la fin de l’année.

S’ils projettent donc d’améliorer la rémunération de leurs salariés pour faire face à l’inflation, les dirigeants sont en revanche très largement défavorables (68%) au projet du gouvernement d’instaurer un « dividende salarié » qui prévoirait un versement obligatoire aux salariés, en cas de versement aux actionnaires.

En ce qui concerne les réformes en cours, les chefs d’entreprise exaspérés de ne pas parvenir à recruter alors que le taux de chômage dépasse les 7%, plébiscitent (81%) une réduction de la durée d’indemnisation des demandeurs d’emploi. De même, 84 % jugent nécessaire ou utile le lancement d’une réforme de notre système de retraite.


Télécharger l’enquête CPME Emploi & salaires dans les TPE-PME


 

Source : cpme.fr

L’Observatoire des Achats Responsables (ObsAR) lance son baromètre 2023

L’ObsAR est un espace de réflexion, d’échanges et de partage visant à diffuser les bonnes pratiques en matière d’achats responsables. Ces derniers constituent un puissant instrument en matière de RSE et font l’objet chaque année d’un rapport sur les tendances et l’évolution des achats responsables de l’année précédente.

En 2022, plus de 250 organisations de toutes tailles ont participé à cette enquête sur leurs pratiques Achats Responsables. L’actualité de cette année marquée par de nombreux changements tant économiques que géopolitiques ont mis au premier plan la résilience des entreprises face à ces multiples crises. Comment les organisations s’adaptent-elles à la pénurie de produits, à la hausse des prix ? Comment s’organisent-elles pour maintenir leur activité ? Ce sont les questions auxquels l’ObsAR tentera de répondre avec le concours des témoignages des entreprises.

Avec une enquête de terrain lancée début novembre et jusqu’au 29 décembre, l’ambition de cette quatorzième édition du Baromètre est de couvrir un large spectre de répondants afin d’obtenir une représentation fidèle de la diversité des pratiques et du rôle stratégique des organisations.


Interdiction des publicités lumineuses en cas de fortes tensions sur le réseau électrique

Après l’extinction nocturne des publicités lumineuses généralisée dans toutes les communes entre une heure et six heures du matin par un décret du 5 octobre, un nouveau décret “portant obligation d’extinction des publicités lumineuses en cas de situation de forte tension du système électrique”, pris en application de l’article 31 de la loi d’août 2022 « portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat », a été publié le 18 octobre 2022.

Le ministère de la Transition énergétique précise que ce décret concerne “toutes les publicités lumineuses”.

À titre de comparaison, le décret du 5 octobre sur l’extinction nocturne des publicités lumineuses ne s’applique pas aux aéroports ni au mobilier urbain affecté aux services de transport pendant leurs horaires de fonctionnement. La mise en œuvre de l’extinction en cas de fortes tensions sur le réseau électrique relèvera d’une décision de la ministre de la Transition énergétique, suite à l’activation du signal “Ecowatt rouge” par le gestionnaire du réseau de transport électrique RTE.

Elle est applicable depuis le 19 octobre 2022 pour les publicités et les équipements pilotables à distance et au plus tard le 1er juin 2023 pour l’ensemble des publicités lumineuses. Le ministère estime que cette interruption devrait réduire de 125 MW la puissance appelée sur le réseau électrique.

 

Source : cpme.fr

Comment mettre en place des solutions de sobriété énergétique dans votre PME ?

De quelle manière les PME ont-elles déjà mis en place des mesures de sobriété énergétique dans leur entreprise ? Réponse dans le nouveau numéro d’Expression directe. 

Et pour aller plus loin, nous vous informons sur les outils et accompagnements qui existent pour mettre en place des mesures de sobriété énergétique dans votre TPE-PME. 

Découvrez le témoignage de Pascal Brethomé, dirigeant du garage Brethomé en Vendée, qui a pris des mesures très concrètes dans sa TPE lui permettant à la fois de réduire sa facture énergétique et de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique.

Guillaume de Bodard, président de la Commission environnement et développement durable de la CPME plaide pour un accompagnement adapté aux TPE-PME, absolument indispensable pour mettre en place ces investissements lourds pour de petites structures.


CLIQUEZ ICI POUR VOIR LE REPORTAGE


Pour aller plus loin

Chefs d’entreprise, quelles solutions adaptées mettre en place pour atteindre vos objectifs de sobriété énergétique ?

Pour faire face à la crise actuelle et vous accompagner vers une sobriété énergétique adaptée à vos besoins, la CPME a organisé un webinaire en lien avec l’ADEME et Bpifrance.

Eclairage, pilotage énergétique, chauffage, climatisation… Des solutions existent et des accompagnements dédiés aux TPE-PME sont disponibles.



Source : cpme.fr

La Commission de Régulation de l’Energie publie des références indicatives de prix de l’électricité pour les PME

La CRE propose aux PME un outil permettant d’indiquer des références de prix (hors taxes) de l’électricité. Il s’adresse aux entreprises amenées à souscrire ou renouveler un contrat de fourniture pour l’année 2023 afin qu’elles puissent s’assurer que les offres de leurs fournisseurs sont compétitives et reflètent bien la réalité des coûts d’approvisionnement.

Sont publiées plusieurs références de prix fondées sur :

• les profils correspondant aux couleurs des anciens tarifs réglementés (bleu, jaune, vert) ;

• au sein d’un profil, un ou deux consommateurs « type » : un consommateur moyen, et un consommateur très saisonnalisé consommant davantage en hiver et en heures pleines.

Les consommateurs sont invités à indiquer la référence la plus en rapport avec leur taille, leur puissance souscrite et les caractéristiques de leur consommation. Les références indicatives de prix publiées par la CRE sont calculées pour une offre d’un fournisseur, d’une durée d’1 an pour livraison sur l’année calendaire 2023, valable 24 heures, fondée sur les prix de gros de l’électricité du lundi, et seront mises à jour chaque mardi ici.

Le prix d’offres débutant avant ou après le 1er janvier 2023, ou portant sur une période plus longue qu’un an est susceptible de différer des références de prix CRE, reflétant les coûts d’approvisionnement différents sur les marchés de gros. Il faut donc bien prendre en compte la période de livraison associée à ces offres.

Résultats de l’enquête CPME sur la situation économique et financière des TPE-PME en période de crise énergétique

Les entreprises montrent des signes de fragilité. Elles ne sont plus que 32% à espérer une amélioration de leur situation globale au 2ème trimestre 2022. Pour 38% d’entre elles, leur situation de trésorerie se dégrade, en raison notamment d’une hausse des retards ou des incidents de paiement.

Les difficultés d’approvisionnement en matières premières, qui frappent plus de la moitié des entreprises (56%), contribuent à dégrader la situation. Il est à noter qu’une immense majorité (90%) des entreprises ont le sentiment que leurs fournisseurs profitent de la situation actuelle pour augmenter leurs prix, et ce sans réelle justification.

L’inflation qui touche la quasi-totalité des entreprises (90%), entraîne pour la moitié d’entre elles (53%) une augmentation du prix de revient de plus de 10%. Un tiers d’entre elles (31%) affirme ne pas être en capacité de reporter cette hausse sur leur prix de vente.

Sans surprise, pour près de la moitié (45%) des dirigeants interrogés, l’inflation aura un impact significatif sur leurs résultats 2022 qui diminueront de plus de moitié, ou basculeront dans le rouge.

Dans ce contexte, le coût de l’énergie pèse de plus en plus lourdement sur les entreprises, une sur dix (9%) allant même jusqu’à envisager un arrêt de son activité du fait de la hausse des prix de l’énergie. Il est vrai qu’en 2021 l’énergie ne dépassait les 3% de chiffre d’affaires que pour 21% d’entre elles alors qu’elles seront 60% en 2023 ! Cela donne une idée de l’ampleur de la crise actuelle.

Il est donc d’autant plus impératif de prendre en compte les 13% de chefs d’entreprise dans l’incapacité de faire face à leurs échéances de remboursement du prêt garanti par l’Etat. Un étalement de 4 ans supplémentaires est plébiscité par 99% des entreprises. Le gouvernement doit l’entendre.

En tout état de cause, le moment est donc particulièrement mal choisi pour augmenter la fiscalité locale, augmentation qui frappe pourtant sept entreprises (70%) sur dix. Pire encore, neuf répondants sur dix (91%) craignent une augmentation de la CFE en 2023.

 

Prime partage de la valeur : un podcast pour tout savoir

Eric Chevée, vice-président de la CPME en charge des Affaires sociales, décrypte la prime de partage de la valeur. En quoi consiste-t-elle ? Quelles sont ses conditions d’application ?  Quelles différences avec la prime dite Macron ?

Dans cet épisode de 4 minutes, Eric Chevée explique le fonctionnement de la toute nouvelle prime de partage de la valeur. La “PPV” remplace la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat dite « prime Macron ». Un outil intéressant pour les chefs d’entreprise.

Ecouter le podcast.

 

Il s’agit du deuxième numéro de la série : “Focus PME : le podcast des experts de la CPME”. Le précédent portait sur le nouveau statut de l’entrepreneur individuel expliqué en 7 minutes par Bruno Dondero.

Cette série propose des explications resserrées et pratiques d’experts de la CMPE sur les sujets clés de l’actualité des entreprises, que nous continuerons de déployer au fil des prochains mois.

 

Source : cpme.fr